tome 1 Morbus Gravis

série: Druuna
dessinateur / scénariste: Serpieri Paolo Eleuteri
éditeur: Dargaud EO 1986
genre: ScienceFiction
classement: biblio118
date: 1086
format: cartonné
état: TBE
valeur: 30 €
critère: ***
remarques: dans un monde d'horreur et de violence,
ses habitants succombent de plus en plus
à un mal cruel et grave (morbus gravis)
qui les transforme en monstres mutants,

Druuna, une jeune femme pulpeuse, vit avec
son ami Shastar qui est atteint de morbus gravis,
elle part à la recherche de sérum qui peut
enrayer le mal, elle est contactée par
un espèce de gnome qui lui fait rencontrer
un être hermaphrodite qui conseille à Druuna
d'aider Shastar qui connait l'origine du mal
>> p. 19 la rencontre avec l'hermaphrodite

puis Druuna se rend chez le prof Ottonegger
qui contre des plaisirs pervers lui procure
du sérum
>> p. 31/32 les tendances sodomistes
d'Ottonegger
>> p. 50 l'attaque du monstre mutant

malgré le sérum, Shastar redevient mutant,
mais auparavant Shastar indique à Druuna
la voie à suivre pour connaître la vérité,
Druuna doit alors continuer seule
la quête pour cette "vérité"

elle rencontrera l'hologramme du vieux Lewis
qui vit en synthèse avec l'ordinateur Delta
qui contrôle en fait ce monde,
Lewis donne connaissance à Druuna
de la grande catastrophe qui a frappé
la planète en son temps

l'ordinateur Delta contrôle en fait le
véhicule spatial sur lequel des humains
se sont réfugiés, mais il a transformé
la plupart des humains en mutants par
le mal morbus gravis et l'astronef est
devenu un monstre incroyable qui
voyage dans les espaces infinies


>>> début d'une série originale avec surtout
un bon graphisme de Serpieri, caractérisé
par une ligne foncée et contrastée
ressemblant quelque peu à celle de Bilal,
mais Serpieri joue beaucoup avec les couleurs,
le contenu est érotique tout en restant
encore assez pudique et plutôt intéressant,
marqué surtout par les rondeurs de
la pulpeuse Druuna (notamment ses fesses
qui envahissent de nombreuses cases)

le texte est fourni principalement par
les réflexions interprétées par Druuna
qui ne mentionnent pas moins de 20 fois
les interjections "mon dieu" alors que
Serpieri est probablement plus un
athée qu'un croyant pieux
couvertures:
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