série: | Vagabond des Limbes (le) |
dessinateur / scénariste: | Ribera+Godard |
éditeur: | Vaisseau d'argent EO 1990 |
genre: | ScienceFiction |
classement: | biblio126 |
date: | 1990 |
format: | cartonné |
état: | TBE |
valeur: | 10 € |
critère: | 0 |
remarques: | tome 19: sur Phyloland, tout est calme, paisible, tranquille, chacun sait ce qu'il doit dire, faire, penser, rarement ne dévie de son chemin et ne se pose jamais la question de savoir pourquoi? sur une planète indéterminée (le monde parallèle), un certain Monsieur KO et sa secrétaire Ophélisse écrivent l'histoire d'Axle alors que celui-ci et son androïde Matt Gammone sont toujours à la recherche de l'origine des ondes qui leur proviennent de Korian, entretemps, Musky veut organiser un pique-nique qui est effectué sur la planète Phylomenia-de-Phyla, peuplée des Philoucheurs à tête de lapin qui sont tous branchés sur les réseaux d'une centrale qui leur envoie des consigns (chaque individu ayant son parcours-destin tracé et décidé, il n'y a plus de question à se poser!) >> p. 18 la prière au Phyl-qui-êtes-z-aux-cieux et inch'phyllah, mais il y a aussi ceux qui se sont révoltés contre le pouvoir central et qui sont dirigés par Phylarque, chef des résistants-révolutionnaires qui se déplacent à l'aide d'accumulateurs-batteries >> p. 24 l'histoire du résistant Philochard qui a connu l'amour de sa vie à l'arrêt d'un tram une offensive des troupes centrales anéantit le groupe de résistants, Axle et Musky sont alors amenés chez le GBP (grand générateur de bonnes paroles) = gestionnaire de Phylomenia (ou Phyloland) avec son assistant Phyphy et toute la Phylamenklatura. le GBP se démasque: c'est un fabricant de câbles qui accepte de laisser repartir Axle et Musky afin qu'ils aient un bon souvenir de lui (?) et finalement Musky aura son pique-nique >> un album loufoque où il y a un mélange de tout: Alice au pays des merveilles, Big brother et compagnie ainsi qu'une référence au film "un tramway nommé désire" et à nouveau une dénonciation du pouvoir de l'argent, c'est n'importe quoi et le récit est aussi délirant que le titre, le manque d'imagination se fait quelque peu sentir mais c'est quelque peu normal après une vingtaine d'albums |
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