BD-Basiliensis

tome 7 l'île des brigadiers

série:	Philémon
dessinateur / scénariste:	Fred
éditeur:	Dargaud EO 1975
genre:	Humour/Fantasy
classement:	biblio129
date:	1975
format:	cartonné
état:	TBE/N
valeur:	50 €
critère:	***
remarques:	Barthélémy repart pour l'île du A par la corde enchantée, accompagné accidentellement par Philémon, tous deux se retrouvent dans la mer de l'île du A qui n'est pas le vrai A, ils sont repêchés par un braconnier, puis récupérés par un brigadier, ce sont des marionnettes en bois déguisées en brigadiers qui prennent maintenant Philémon et Barthélémy comme bibelots >> p. 11 la ville des brigadiers = un théâtre de marionnettes >> p. 13 petite réflexion sur l'origine et le destin des hommes (?) avant les brigadiers, l'île était habitée par des guignols qui en ont été chassés par les brigadiers, Philémon et Barthélémy réussissent à s'échapper mais sur leur chemin, ils sont confrontés à un attrape-nigaud >> p. 21 l'énigme de l'attrape-nigaud (hum) apparition des manu manu militari (= manu manu dressés qui animent les marionnettes des brigadiers), des manu manu sauvages et des chasseurs de manu manu sauvages >> p. 29 la lune est toujours crevée (voir album Simbabbad) mais la chasse aux manu manu n'est pas une mince affaire >> p. 37 l'histoire de l'enfant manu manu l'île est bien celle du A mais du A de oceAn, neutralisation des brigadiers (en leur enlevant leur uniforme, ils redeviennent des manu manu sauvages et un manu manu ne peut parler que si il est revêtu d'un uniforme), ce qui est confirmé par les oiseaux-huissiers >> p. 38 un manu manu vu de derrière le voyage vers l'île du vrai A se poursuit par bateau, mais c'est le décor qui bouge, le bateau restant immobile, et le décor prenant toujours de plus en plus de vitesse, les deux compères n'arrivent pas à rejoindre l'île du A et se retrouvent dans le monde réel accompagnés d'un manu manu qui les a suivi sur le bateau >> un album quelque peu philosophique et critique de l'ordre établi, mais surtout apparition d'une grande création de Fred: le Manu Manu >> un scénario excellent et un graphisme tout autant
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