série: | Humour/Fantastique |
dessinateur / scénariste: | Fred |
éditeur: | Dargaud EO 1999 |
genre: | Humour/Fantasy |
classement: | biblio129 |
date: | 1999 |
format: | cartonné |
état: | TBE |
valeur: | 15 € |
critère: | 0 |
remarques: | discussions dans un bistro sur l'utilité de l'enseigne "à la dernière image" d'une boutique dans le village, boutique dont la vitrine est vide et où on ne vend rien! durant une partie de billard, un joueur reçoit une boule à la tête et est considéré comme mort, ses compagnons décident de le déposer dans la vitrine vide de la boutique qui est aussi vide et dont la porte n'est pas fermée après coup, le pseudo-mort ressuscite et devient l'invité du propriétaire de la boutique qui est un grand violoniste >> p. 15 le baron tzigane qui construit ses décors avec son violon et le baron à chaque fois qu'il joue change son décor et le duo se retrouve naviguant sur un océan d'eau >> p. 20 on dérive sur l'eau avec un violon-radeau et selon les explications du baron tzigane, la dernière image serait celle qu'on voit juste avant la mort >> p. 23 apparition de la lune conteuse (voir l'album précédent) en parlant commerce, les deux compères attirent des requins-cigares (= des banquiers) = les plus dangereux des requins d'affaires entretemps le violon-radeau navigue sur le sable d'un désert >> p. 36 le soleil avec des lunettes de soleil (ce ne sont pas des lunettes de soleil, ce sont les lunettes du soleil) >> p. 42/43 apparition du petit prince (N.B. il fallait s'y attendre!) finalement grâce à des coups d'archet sur le violon-radeau qui a rétrécie au soleil, on réussit à retourner à la boutique et la dernière représentation se déroule en la présence d'un boucher qui aimerait avoir la dernière image de son cochon préféré >> pour son dernier album ou sa dernière image, Fred n'aura pas vraiment laissé une bonne image derrière lui, un album au scénario pratiquement nul, on touche ici au comble de l'absurde (voir même de l'idiotie) sans aucune saveur et le graphisme devient aussi un peu trop grossier, c'est dans la série, l'album de trop qui fait déborder le vase |
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