série: | Dernière des salles obscures (la) |
dessinateur / scénariste: | Gillon+Lapière |
éditeur: | Aire Libre EO 1996 |
genre: | Temps modernes |
classement: | biblio133 |
date: | 1996 |
format: | cartonné |
état: | TBE |
valeur: | 15 € |
critère: | * |
remarques: | livré avec le coffret et un livret sur Paul Gillon 1) le dossier 8 pages d'information sur la série = la vie de Raoul Rosensztroch de la 1ère guerre mondiale à la chute du mur de Berlin, autobiographie d'un producteur de cinéma à travers les grands évènements de l'histoire 2) le récit né en 1892, naissance prématurée de Rosensztroch dans une salle de projection (pantomines lumineuses = l'ancêtre du cinéma) Prague, 1989, soulèvement des tchèques >> p. 11 un char russe peint en rose flash-back sur 1968 où le printemps de Prague avait échoué Pierre, son amie Mireille, tourne un film à Prague en 1989 sous la direction de leur producteur très agé et paralysé Raoul Rosensztroch qui sera tué dans un accident de voiture en voulant faire une surprise à Pierre et Mireille Mireille blessée est rapatriée à Paris, mais Thomas qui conduisait la voiture incriminée est sous interdiction de quitter Prague Pierre découvre sous le lit de Rosensztroch son autobiographie qu'il commence à lire Rosensztroch, adolescent, s'intéresse déjà au cinématographe, à 18 ans il est engagé chez Charles Pathé, bureau de New York, il rencontre Dona, assiste au tournage d'un film de Chaplin à Los Angeles avec Dona qui l'abandonne pour convoler avec Chaplin Rosensztroch devient photographe de guerre durant le premier conflit mondial, puis animateur, enfin producteur de cinéma et à 43 ans il est un industriel du cinéma en 1935, il vend tout et se retrouve à Berlin où il veut assassiner Hitler, mais il se dégonfle, laisse tomber son projet et retourne à Paris >> un premier tome assez bien imaginé avec un graphisme typique à Gillon critique >> voir tome 2 |
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