série: | Dernière des salles obscures (la) |
dessinateur / scénariste: | Gillon+Lapière |
éditeur: | Aire Libre EO 1997 |
genre: | Temps modernes |
classement: | biblio133 |
date: | 1997 |
format: | cartonné |
état: | TBE |
valeur: | 15 € |
critère: | * |
remarques: | fait partie d'un coffret avec le tome 1 et un livret sur Gillon résumé 1942, Paris, les parents de Rosensztroch se suicident avant d'être arrêtés par la Gestapo, Raoul doit fuir Paris et se réfugie en Haute-Savoie chez les partisans n.b. fin 1942, la Haute-Savoie, le Var, les Alpes Maritimes et la Drôme sont occupées par les Italiens qui sont moins pressés à inquiéter les juifs, mais en 1944 la capitulation italienne laisse à nouveau le champ libre aux nazis pour pourchasser les juifs Rosensztroch s'enfuit vers la frontière suisse en 1945, avec son ami Leblanc, il entreprend un reportage sur les camps de concentration, d'abord sur celui de Birkenau >> p. 17 les cadavres juifs empilés les uns sur les autres puis visite à Varsovie où Rosensztroch rencontre Veronica, retour à Paris où il redevient producteur indépendant et tourne un film sur la période après une guerre atomique intitulé "décombres", puis un film nouvelle vague "la femme neuve" à 68 ans Rosensztroch retrouve Veronica qui en a 32, mais en 1968 Veronica retourne seule à Prague, elle sera arrêtée par les russes lors du printemps de Prague et enfermée dans un camp de travail où elle met au monde une fille, Ana, fille de Raoul Rosensztroch à sa mort et après avoir pris connaissance de l'autobiographie de Rosensztroch, Thomas, jeune producteur, pour rendre hommage à son maître, va retrouver Ana et lui remettra l'autobiographie de son père >> une continuation sans grande originalité du tome 1, scénario moins recherché avec un graphisme toujours fidèle à Gillon en général, une série moins intéressante que celle de "au nom de tous les miens" (qui n'a malheureusement pas été continuée) et une histoire si pas trop obscure, quand même un peu voilée pour ce dernier spectacle toutefois, la série des "naufragés du temps" restera l'oeuvre la plus glorieuse de Gillon, producteur de bande dessinée |
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