série: | Ombre de la croix (à l') |
dessinateur / scénariste: | Trondoli |
éditeur: | Paquet EO 2003 |
genre: | Mysticisme |
classement: | biblio606 |
date: | 2003 |
format: | cartonné |
état: | TBE |
valeur: | 15 € |
critère: | ** |
remarques: | XIVème siècle, un procès se tient à Paris contre les templiers suite à la perte d'Acre en Palestine, causée soi-disant par une sorcière alors qu'en Terre Sainte, deux jeunes filles dont Elisea recherchent un trésor noir caché à Acre la forteresse de St-Jean-d'Acre est menacée par les Sarrasins, Luc de Ridefort accompagné d'un templier, chevauche vers la forteresse, car il est chargé de sauver le légendaire "trésor noir" sur sa route, il va croiser le chemin d'une jeune fille, Elisea, leurs destinées vont désormais être liées à la croisée de ces luttes d'influence se cache le légendaire "trésor noir" dont le seul nom fait se dresser la toute puissante inquisition >> un scénario quelque peu embrouillé et effleurant une multitude d'histoires différentes, mais un graphisme superbe, genre aquarelle, avec un rendu extraordinaire des couleurs à lire pour le bonheur des yeux Information XIVème siècle, la France tout entière est tournée vers la Terre Sainte où les Templiers font encore la loi accompagné d'Eliséa, une jeune juive persécutée, Luc de Ridefort part pour la Palestine dont il a été chassé dix ans auparavant, son but: trouver le trésor noir, dont la légende dit qu'il est caché dans les souterrains du dernier bastion catholique du Moyen-Orient: Saint Jean d'Acre, or, devant la place forte, la bataille fait rage et les Sarrasins prennent facilement le dessus face aux Templiers, pour son premier album, Ilaria Trondoli a choisi un sujet qui frappe l'imaginaire, mais qui a curieusement été assez peu traité en BD, cependant, un scénario quelque peu embrouillé fait que le lecteur a beaucoup de mal à s'attacher aux personnages: les deux albums ne font qu'effleurer une multitude d'histoires différentes qui y commencent, lors qu'il transcrit assez bien les sensations évoquées de par le scénario, le dessin, mélange de traits violents et de "repentirs" rend parfois difficile l'identification des personnages, toutefois, le rendu des couleurs est extraordinaire et l'impression de flou donnée par le pinceau ajoute une dimension poétique à l'album |
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