série: | Tuniques Bleues (les) |
dessinateur / scénariste: | Cauvin+Lambil |
éditeur: | Dupuis EO 1985 |
genre: | Humour |
classement: | biblio223 |
date: | 1985 |
format: | cartonné |
état: | TBE |
valeur: | 10 € |
critère: | ** |
remarques: | toujours la guerre de Sécession, mais cette fois les femmes y sont bien représentées message du général Grant au général Alexander: tenir coûte que coûte les positions, mais celles-ci sont sévèrement bombardées par l'artillerie sudiste et les pertes nordistes deviennent élevées, Blutch est même pour une fois sévèrement blessé (on veut même amputer sa jambe) >> p. 6 de belles blessures que Blutch pourra montrer à ses enfants (Chesterfield dixit) Grant envoie alors à Alexander une troupe d'infirmières pour soigner les blessés et remonter le moral, mais la pagaille s'empare de l'armée, car tous les soldats s'annonçent blessés et veulent se faire soigner par les jolies infirmières (même le capitaine Stark veut se rendre à l'infirmerie) >> p. 13 Alexander ordonne alors à Burke, une brute de soldat, de se déguiser en une grosse et laide infirmière, ce sera miss Bertha qui sera chargée de débusquer les tirs-au-flanc >> p. 18 Arabesque, la jument de Blutch est une vraie mère pour Blutch et pour quitter l'armée, Blutch imagine de tomber amoureux de miss Jenny, une jeune et triste infirmière, il demande alors une permission pour le mariage (Blutch et la belle ont l'intention d'en profiter pour déserter), alors que le capitaine Stark demande miss Bertha en mariage >> p. 32 les préparatifs du mariage Burke démissionne et Alexander ordonne à Chesterfield de devenir miss Bertha >> p. 36 la nouvelle miss Bertha, alias miss Cornélie toutefois la ruse de Blutch est éventée, Alexander décharge miss Cornélie qui part à la poursuite des deux pseudo-mariés qui sont rattrapés, mais comme Blutch a réussi à prévenir Alexander d'une offensive sudiste, il est récompensé et admis comme infirmière dans l'armée avec miss Jenny, sa pseudo-mariée, tout cela bien sûr au détriment du caporal Blutch >> un récit tout à fait convenable et qui apporte un peu de fraîcheur à cette putain de guerre qui elle ne fait vraiment pas dans la dentelle |
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