série: | Terres Lointaines |
dessinateur / scénariste: | Icar+Leo |
éditeur: | Dargaud EO 2012 |
genre: | ScienceFiction |
classement: | biblio1 |
date: | 2012 |
format: | cartonné |
état: | TBE |
valeur: | 6 € |
critère: | 00 |
remarques: | Paul accidentellement téléporté chez les extra-terrestres (dans cet épisode on ne les connaîtra pas!) qui avaient arrangé une rencontre avec les Stepanerks pour obliger les terriens à quitter Altaïr, assiste à la conférence et parvient à convaincre les extra-terrestres qu'on lui accorde un mois pour corriger les erreurs des terriens, à cette fin il sera accompagné et soutenu par Step, son bon copain >> p. 8 de retour sur Altaïr, Paul assiste à l'arrivée des pompiers pour éteindre l'incendie du "velvet paradise" le patron du "velvet paradise" avec l'argent reçu de l'assurance incendie veut maintenant se rendre dans la capitale d'Altaïr pour y ouvrir un nouveau cabaret qu'il nommera "the golden velvet" avec la super-machine holographique Fushimore-Stender de 4000 gigas mais Paul ne doit pas oublier qu'il doit devenir le sauveur des terriens d'Altaïr en sachant convaincre le gouvernement de ses erreurs passés et cela ne sera pas facile! >> p. 21-28 sur le chemin de la capitale, Paul et ses amis sont encore attaqués par des pirates de la route mais Step le Stepanerk en fera du haché-menu!! après avoir programmé le super-spectacle holographique, Paul rencontre Claire, une ancienne connaissance, fille de la candidate dans l'opposition au gouvernement et réussit à la convaincre d'adopter les changements voulus par les extra-terrestres et lors des toutes prochaines élections, le gouvernement actuel est renversé et la mère de Claire prend le pouvoir et corrige aussitôt les anciennes erreurs s'attirant ainsi les faveurs des extra-terrestres par la suite, Paul retrouve sa mère et sa soeur, sa mère est devenue la compagne du patron du bistrot où elle travaillait; celui-ci était un copain du père de Paul et était tombé amoureux de la mère de Paul et c'est lui qui leur avait fait parvenir les billets d'avion pour les faire venir à Altaïr en imitant l'écriture du père de Paul >> ouf, on est super-content d'arriver à la fin de ce cycle qui avait pourtant assez bien commencé mais ce dernier album est super-zéro, un vrai navet qui conclut ce cycle sans holo-fard ni holo-trompette! l'imagination de Leo commence aussi à s'effaçer dans les horizons lointains tout comme le graphisme qui n'est vraiment plus non plus très recherché |
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