série: | Erotisme Pichard |
dessinateur / scénariste: | Pichard Georges |
éditeur: | Art Presse EO 1992 |
genre: | Erotisme |
classement: | biblio311 |
date: | sd (1992) |
format: | cartonné, N&B |
état: | TBE |
valeur: | 15 € |
critère: | * |
remarques: | titre complet: MCPM = maison de correction princesse Mélanie, maison de correction pour femmes de toutes classes, 64 pages, format italien - 1911, création d'une maison de correction pour femmes par le mari de la princesse Mélanie dans une petite principauté d'Europe Centrale, - prison à caractère de rééducation et de punition première pensionnaire et expérimentatrice: Leopolda, une intime de la princesse - par la suite, d'autres femmes animeront la maison de correction dont de petites bourgeoises, des mères et filles de petite vertu, des femmes dévoyées de haute noblesse, tout ce monde pour le grand plaisir de la princesse Mélanie qui viendra admirer et jouir des supplices de ses victimes, mais le prince ayant été déchu, la princesse Méanie sera envoyée, elle-même, en maison de correction et deviendra une pensionnaire attitrée, infortunée suppliciée de sa propre maison de correction - album exécuté avec texte sur une page et image sur l'autre dont les plus imaginatives (mais où Pichard va-t-il chercher de pareilles idées?): - p. 4 le lavement interne - p. 9 le lavement externe - p. 13 la scarification (incision superficielle de la peau) - p. 16 la machine infernale - p. 17 la femme gavée de foie gras - p. 19 la marche punitive - p. 22 une pose fort lascive - p. 23 le supplice au fil de fer barbelé - p. 27 le supplice réciproque - p. 29 le supplice de la petite cage de fer - p. 33 le supplice de l'épinglement - p. 34 femme sur étal - p. 36 femme illuminée - p. 38 l'arrachage des dents - p. 40 la machine à jouir - p. 42 le supplice du pal - p. 43 le supplice de la goutte d'eau avec pose très érotique - p. 45 la chaufferie des dames - p. 55 la séance de photographie - p. 56 le supplice du phonographe (pour la rééducation) >> une réédition du monde des femmes tourmentées de Pichard, cette fois dans une maison de correction au lieu d'un couvent pour mortification (avec la langue perçée d'un anneau = une nouvelle spécialité de Pichard) - des femmes qui deviennent plutôt cauchemardesques et décharnées plutôt qu'attirantes et érotiques (à comparer avec Marie-Gabrielle de Saint-Eutrope) - la série a fait son chemin de croix et ne peut guère apporter de mieux, toutefois quelque bon graphisme pour quelques planches érotiques annexes - couverture de l'album - p. 13 la scarification - p. 27 la tentation - p. 43 le lavement - p. 45 la chaufferie de ces dames |
couvertures: |