BD-Basiliensis

tome 3 la blanche lance

série:	Rêve de Jérusalem (le)
dessinateur / scénariste:	Marty+Thirault
éditeur:	Dupuis EO 2010
genre:	Moyen-Age
classement:	biblio615
date:	2010
format:	cartonné
état:	TBE/N
valeur:	10 €
critère:	**
remarques:	à Antioche, les croisés se retrouvent eux-mêmes assiégés par une armée de 100'000 hommes commandée par le général Kurbuqa et levée par l'atabeg de Mossoul, la famine et la maladie frappent aussi les croisés, de plus la discorde s'installe parfois parmi eux >> p. 10/11 les têtes volent bas à Antioche toutefois Live Noir découvre que ce n'est pas la peste qui se manifeste, mais un empoisonnement dû à des aliments avariés et la rivalité pour Istvana s'installe aussi entre Live Noir et Hermance Bohémond de Tarente réussit à convaincre que tous les chrétiens (y compris les femmes et les hommes d'église) prennent les armes pour défendre les remparts contre l'assaut turc >> p. 17 à 19 la mêlée est générale Istvana, arrivée à la rescousse avec ses Tafurs sauve la situation le général turc use d'une autre tactique, il fait festoyer ses hommes devant les chrétiens affamés, mais ceux-ci résistent toujours et pour inspirer de la terreur aux turcs, les défenseurs se déguisent en Tafurs en fouillant dans l'église St-Pierre d'Antioche, Karlis découvre la relique de la lance sacrée qui avait percé les flancs du Christ, les hommes d'église refusent toutefois de reconnaître cette lance ébréchée et rouillée, Karlis l'a fait alors reforger et la pureté de son alliage, fait resplendir la lame de la lance qui devient l'arme du Christ: la blanche lance et avec cette arme miraculeuse, les croisés organisent une sortie et anéantissent l'armée turque, Antioche est sauvée mais Jérusalem est encore loin >> p. 47 Jérusalem, la cité des rois >> la saga de la marche vers Jérusalem continue, le scénario reste plutôt faible (>> p. 17 à 21 = 5 pages pratiquement sans texte) mais le graphisme bien que brutal reste bien exécuté n.b. les armures sont du XVème et XVIème siècle pour apparaître plus rutilantes (selon l'auteur)
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