série: | Belem |
dessinateur / scénariste: | Delitte Jean-Yves |
éditeur: | Glénat EO 2011 |
genre: | Marine |
classement: | biblio520 |
date: | 2011 |
format: | cartonné |
état: | TBE/N |
valeur: | 10 € |
critère: | * |
remarques: | l'histoire du retranchement sur l'éperon qui ferme la baie du port de St-Pierre effectué par Jacques Dyel du Parquet en 1637 qui sera baptisé Fort-Royal, puis plus tard Fort-de-France en 1913, le Belem a fêté ses 17 années d'existence depuis la Martinique, il appareille vers Aruba au Venezuela, ce sera sa dernière campagne, l'époque des voiliers est terminée >> p. 7 le regret de la marine à voile et de la douceur de vivre antillaise pour les matelots du Belem ce fut vraiment une belle aventure >> p. 9 description d'Aruba (dans les petites Antilles) interlude: en 1915, l'équipage de l'ex Belem est abandonnée en Méditerranée sur une baleinière après que leur vapeur ait été coulé par un U-Boot autrichien, ils font naufrage sur une côte de Crète en 1913, le Belem est de retour en Bretagne, après quoi le Belem sera amené à Southhampton il a été acheté par un noble comte anglais qui s'est engagé à garder l'identité du voilier et tandis que le Belem arrive à Nantes en 1913, après avoir évité de justesse une collision avec un vapeur dans la Manche, la baleinière des naufragés accoste à Heraklion en 1915 >> le dernier volume de la série Belem, les illustrations sur le voilier sont toujours de bonne fracture, notamment p. 19, 27, 30/31 en cases horizontales et 35, mais un scénario sans grande prétention Information le Belem, merveilleux trois-mâts barque à coque d'acier, fut lancé le 10 juin 1896, son étrave sous pavillon commercial fendit les eaux de l'océan atlantique et de la mer des Antilles pendant 17 années, de 1896 à 1914 six capitaines se succédèrent à sa barre durant cette période, mais le dernier Julien Chauvelon devait le commander sans interruption de 1901 à 1914 c'est donc avec une légitime et évidente émotion qu'il quitta son "navire" à l'issue de la de 32ème et dernière campagne l'armement du Belem, comme bien d'autres hélas, avait été mis en faillite la marine à voile et les voiliers, au long cours, aussi majestueux soient-ils, avaient fait leur temps, dépassés, surclassés par la vapeur fort heureusement, ses belles lignes et la providence vont éviter au Belem le triste sort de ses "congénères": finir en vulgaires épaves démembrées et oubliées de tous, il fut en effet vendu le 11.2.1914 à l'homme d'affaires du duc de Westminster le 24.2.1914 Chauvelon prit une dernière fois le commandement de "son" Belem pour lui faire traverser la Manche et rejoindre Southhampton le Belem poursuivra donc l'aventure sous d'autres couleurs mais conservera son nom, le duc de Westminster étant fidèle à la tradition le trois-mâts barque, après quelques transformations, deviendra navire de plaisance et un magnifique yacht à croire que le joli sobriquet de "yacht nantais" dont il avait été baptisé lors de sa mise à l'eau en 1896 l'y prédestinait |
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