tome 3 le secret de la sibylle

série:	Meute de l'enfer (la)
dessinateur / scénariste:	Kovacevic+Thirault
éditeur:	Humano EO 2006
genre:	Heroic-Fantasy
classement:	biblio705
date:	2006
format:	cartonné
état:	TBE/N
valeur:	8 €
critère:	0
remarques:	à une époque tumultueuse née de l’effondrement du monde antique, un groupe de mercenaires redoutables, la meute, se reforme après huit ans de séparation et part à la recherche d'un fabuleux trésor caché au centre d'enfers légendaires la meute a quitté Carthage et gagne Terracina, sur la côte est italienne le pays est déchiré par la guerre civile entre les différentes factions ostrogothes et les sectes romaines, des fidèles de la culture romaine se révoltent contre les dieux barbares et contre le dieu des chrétiens >> p. 9 le supplice de la table des châtiments et bientôt un nouveau fléau s’abat sur l’Italie car l’Oiseau, sans le savoir, commence à y propager la peste et les plans de l'impératrice Theodora Augusta pour envahir l'ancien empire romain d'Occident sont contrariés par la peste noire >>> un développement qui devient de plus en plus incohérent et la meute n'ameute plus rien de plus, le graphisme est en nette baisse n.b. il y a encore un album paru dans cette série: - tome 4 la tanière du mal (2010) mais non collectionné ici épilogue malgré deux tomes franchement moyens et des critiques plus que virulentes, le scénariste Thirault ne dévie apparemment pas d’un iota de sa manière de construire son histoire, ainsi, il continue à entrecouper son intrigue principale de flash-back et d’actions sans liens directs avec la recherche du fameux trésor et le rythme du récit en souffre grandement on regrettera également que le contexte historique, qui est assez peu usité dans le 9ème art, soit seulement utilisé pour justifier massacre et toute autre attaque inopinée de barbares, une meilleure connexion entre celui-ci et la quête principale aurait sans doute relevé l’intérêt du récit. un autre point marquant de ce troisième opus se situe au niveau du changement de dessinateur, Kovacevic semble avoir des difficultés à retranscrire le mouvement, celui-ci étant de temps en temps figé à la manière d’un roman photo
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