tome 4 faut-il que nous mourions ensemble?

série:	Sambre
dessinateur / scénariste:	Yslaire
éditeur:	Glénat EO 1996
genre:	Empire
classement:	biblio202
date:	1996
format:	cartonné
état:	TBE
valeur:	20 €
critère:	**
remarques:	4ème volet de la tragédie sambrienne: février 1848 >> p. 7 Julie façe aux baïonettes grâce au sacrifice de Julie qui est gravement blessée, la barricade des insurgés est épargnée Sarah arrivée à Paris informe Bernard de son intention de se marier avec son cousin, Hippolyte Guizot, l'inspecteur de police >> p. 23 les révélations du vicaire qui serait à l'origine du roman "la guerre des yeux" = la guerre des révélations explications sur la mère de Julie et la raison de ses yeux de couleur rouge-sang (hémophilie du nerf optique) >> p. 39 dans un excès de rage, Bernard détruit le tableau de la famille Sambre et découvre derrière le tableau, enfouie dans le mur, la tête embaumée d'une maîtresse de Hugo Sambre la révolution continue, Bernard croit Julie tuée par la mitraille et veut également se faire tuer, mais Julie a survécu tout comme Sarah dans sa province >> un scénario qui devient diablement compliqué alors que le graphisme reste excellent en fin d'album, le prochain titre annoncé est "le dernier des Sambre", mais ce volume sera le dernier de cette première série, une seconde série continuera avec comme titre "maudit soit le fruit de ses entrailles" >> voir détails des séries, tome 1 annexes - couverture de l'album - extraits de page - couverture de la réédition 2003 - couverture d'un tirage spécial 30 ans de Glénat avec une couverture inédite Information et puis, il y avait cette plainte qui n'en finissait pas, elle n'est pas morte, elle me regarde là; entre folie et passion, Bernard Sambre poursuit sa descente aux enfers romantiques, dans le Paris agité de 1848, la guerre, celle des esprits, celle des fusils, rythme la quête désespérée des amants maudits, histoire d'un amour fou et d'une révolution trop jeune qui s'achève dans le sang, car la guerre des yeux est éternelle et sans merci
couvertures: