BD-Basiliensis

tome 2 Sainte Inquisition

série:	Luxley
dessinateur / scénariste:	Ruizgé+Mangin
éditeur:	Quadrants EO 2006
genre:	Heroic-Fantasy
classement:	biblio708
date:	2006
format:	cartonné
état:	TBE/N
valeur:	8 €
critère:	0
remarques:	deuxième volume de la saga uchronique telle une nouvelle Jeanne d'Arc, Robin de Luxley, sous les conseils d'Adam de Loraux, un moine tué par les atlantes, qui l’avait prévenu par un rêve, attaque l’abbaye royale de Saint Denis et récupère les symboles de la royauté comme la couronne, l’épée et l’oriflamme afin de les remettre au roi Louis VIII Robin de Luxley est le seul à pouvoir mener ce genre d’attaque car il possède le pouvoir d’échapper à la vision du mauvais (troisième) oeil du gouverneur atlante Vucub Noh. le pape Innocent III a envoyé la Sainte Inquisition vers le roi de France pour les aider dans la lutte contre les atlantes et débarrasser les troupes du roi, des traîtres qui auraient pu les rejoindre >> p. 13 la prise de Rome par les atlantes et la crucifixion du pape, sauvé en dernière instance par ses fidèles la cohabitation commence mal, car Dominique de Guzman, le supérieur des inquisiteurs, pense que Robin, à cause de son pouvoir, a été perverti par les atlantes et va tout faire pour le prouver on nous explique aussi que l'invasion des atlantes était très justifiée car leurs devins avaient prédit l'invasion une centaine d'années plus tard des conquistadors qui allaient ensanglanter leur pays et les convertir à une nouvelle religion les atlantes ont donc voulu prendre les devants Robin de Luxley sera innocenté par Innocent III qui désavoue le grand inquisiteur ce qui permet aux rebelles de Luxley d'obtenir une grande victoire sur l'armée du gouverneur de Paris à Machu Pichu, le Grand Inca commence à s'inquiéter et ne va pas laisser faire Luxley >> ce deuxième album est à nouveau plutôt décevant, l'épisode est consacré en majeure partie à la dispute entre Robin de Luxley et l'Inquisition qui accuse Luxley de traîtrise et d'hérétique qu'il faut éliminer, un scénario des plus banal avec toutefois un graphisme encore acceptable et même le cahier historique de 3 pages à la fin du livre n'est pas des plus intéressant (les 4 dernières pages étant consacrées à de la publicité pour les éditions Quandrant)
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