série: | Jeunesse de Thorgal |
dessinateur / scénariste: | Surzhenko+Yann |
éditeur: | Lombard EO 2018 |
genre: | Heroic-Fantasy |
classement: | biblio103 |
date: | 2018 |
format: | cartonné |
état: | TBE/N |
valeur: | 6 € |
critère: | * |
remarques: | sixième album de la série et pas le meilleur prologue une Slive brutale et arrogante à la recherche de la capsule de survie où l'on a trouvé Thorgal/bébé, capsule qui avait disparu, rencontre avec Gandalf-le-fou qui veut épouser Slive pour s'approprier ses richesses et malgré ses grands pouvoirs, Slive est faite prisonnière fin du prologue enfermée dans une tour noire, Slive a réussi à s'échapper et cherche à se venger >> p. 10 pour une fois, Gandalf prend le partie de Thorgal toujours à la recherche d'Aaricia qui a disparu entretemps, Skald (voir l'album précédent et l'album Skald de la série Louve) se remet de sa langue tranchée par Slive (quelle reconnaissance pour avoir aidé Slive à sortir de sa prison) tandis que Slive tombe dans un autre piège tendu par la soeur de Skald, Slive sera blessée gravement (c'est là qu'elle perd son oeil gauche) mais elle sera récupérée par des rescapés des hommes des étoiles et retrouvera sa fille qui sera tuée un peu plus tard (voir les premiers tomes 1 et 2 de la série Thorgal) tandis que Thorgal à la recherche d'Aaricia apprend par Enyd, la compagne d'Aaricia qui a été sauvée par un serviteur arabe, que Aaricia a été prise en otage et est en route pour Bag Dahd, ce qui laisse présumer que la suite des aventures sur la jeunesse de Thorgal n'est pas définitivement terminée >> à nouveau une petite fin pour une série bien commencée (du moins les 4 premiers albums), mais un scénario sans saveur où l'on est informé des origines de Slive la borgne et de Skald le muet, toutefois le graphisme de Surzhenko reste convenable avec à nouveau une couverture d'album bien exécutée par Rosinski Information en effet, cela fait bien longtemps que les aventures de Thorgal manquent de passion, probablement dû au fait de la disparition de la surprise ou de la diminution d’inspiration, c'est vrai qu'il faut en avoir sous le bras pour tenir un rythme soutenu pendant près de 60 albums parus, les auteurs n’ont donc pas à rougir de leur travail, même si celui-ci perd parfois en intensité d’un numéro à l’autre |
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