série: | Lacrima Christi |
dessinateur / scénariste: | Convard+Falque |
éditeur: | Glénat EO 2017 |
genre: | Mysticisme |
classement: | biblio1 |
date: | 2017 |
format: | cartonné |
état: | TBE/N |
valeur: | 10 € |
critère: | * |
remarques: | à Pyongyang, au cœur du palais de Cho Ihn Kyang, despote régnant sur la Corée du Nord, la situation est toujours tendue, le rectificateur s’attache les services d’un ascenseur et d’un hélicoptère pour s’extraire de la réserve de Lacrima Christi, chimère bactériologique pouvant éradiquer toute vie sur Terre, mais la situation du rectificateur reste très précaire, il réussira toutefois à s'échapper avec l'aide du général Hong Tong-Jo, oncle de Cho Ihn Kyang, qui est un agent du CIA et qui rêve de renverser le régime actuel, toutefois le rectificateur est parvenu à faire exploser la cave à vin du dictateur où sont entreposées les réserves de lacrima christi, malheureusement Cho Ihn Kyang possède encore une bouteille de lacrima christi en réserve avec laquelle il peut en reproduire d'autres flashback: dix mois plus tôt, dans son laboratoire, le Vatican qui s’est associé à Nomane et à son équipe, tente de faire parler le cadavre de l’alchimiste Biancofuori, mystérieusement conservé après huit siècles passés au fond de la Méditerranée, de disparition de preuves en messages cryptés, de la C.I.A. au jeu trouble en sociétés secrètes, les experts ont du fil à retordre et voient d’un mauvais œil le surnaturel se mêler de leurs recherches scientifiques et au Vatican, le message sur l'antidote, trouvé dans le doigt de Biancofuori, est toujours encore indéchiffrable, l'enquête continue donc une nouvelle quête est déclanchée lorsque que l'on constate que la lettre du pape contient son sceau, mais ce sceau a disparu, on le retrouvera chez la famille de Floriana Uglioni qui sont les héritiers de Biondi, l'assistant de Biancofuori et qui s'allient avec le rectificateur pour combattre le mystérieux obscur voyageur qui ne serait rien d'autre que Satan personnifié, en outre Floriana remet aussi au rectificateur un coffret contenant une petite pièce de verre qui aurait été dissimulée dans le sceau, mais qui reste à nouveau un mystère >> p. 21 selon le cardinal Montespa (une ancienne connaissance) le monde est condamné si l'on ne peut pas décrypter les énigmes de l'alchimiste et en effet, les effets de la contamination dans l'aéroport JFK commencent à se manifester partout dans les USA >> p. 32/33 Floriana Uglione transmet au rectificateur le document retraçant le récit du naufrage du spada di dio comme cité dans les mémoires de Biondi >> p. 41 c'est le jumeau du christ qui aurait été crucifié à la place du vrai Jesus et le jumeau aurait versé deux larmes de haine sur le monde qu'un alchimiste a recueilli, en fait il s'agissait de deux gênes de mort, un alchimiste (Biancofuori) aurait alors passé un marché avec l'obscur voyageur (Satan) contre le baiser des ténèbres ce qui lui aurait permit d'utiliser les larmes du christ et se lançant à la poursuite des complices de Benciveni, tout seul sur sa moto, le rectificateur est grièvement blessé, mais il a le temps de parler avec le fantôme de Biancofuori qui lui fait savoir qu'il est son allié contre les forces du mal, fin de l'album vocabulaire: - ubuesque = qui rappelle le personnage d'Ubu, = d'un un caractère grotesque, cruel et couard - barguigner = hésiter ce troisième volume de la série Lacrima Christi s’attache d’abord à une certaine continuité, le traitre Bencivenni a réussi sa démonstration de force en répandant un échantillon de peste à l’aéroport J.F.K., le sceau de l’alchimiste, apparemment unique pièce manquante du puzzle, est activement recherché, mais le scénariste introduit de nouvelles quêtes: la C.I.A. n’est pas exempte de responsabilités dans l’attentat et deux confréries font leur apparition, donnant un autre éclairage sur le naufrage du Spada Di Dio, enfin, un voyageur obscure est mentionné, sans être encore identifié, il est censé être le grand manipulateur qui ne serait autre que Satan le mystère s'épaissit mais le déroulement de la trame tire en longueur, même la narration du naufrage du spada di dio n'ajoute guère d'intérêt; on ne sait toujours pas quel rôle joue la petite pièce de verre trouvée dans le sceau du pape, ni à qui la lettre était destinée et bien sûr le message du Biancofuori reste toujours un mystère, malgré tout la lecture du récit est assez intéressante et le graphisme de Falque reste convenable |
couvertures: |