BD-Basiliensis

tome 6 rémission

série:	Lacrima Christi
dessinateur / scénariste:	Convard+Falque
éditeur:	Glénat EO 2020
genre:	Mysticisme
classement:	biblio1
date:	2020
format:	cartonné
état:	TBE/N
valeur:	10 €
critère:	*
remarques:	dernier album de la série - en Corée du Nord, le général Hong Tong-Jo a été démasqué et l'équipe de Nomane avec Karen et la CIA doit se replier, une chasse à l'homme est ordonnée par le guide suprême Cho Ihn Kyang, mais sans résultat >> p. 12 la formule de l'antidote au lacrima christi - à Rome, la tueuse à la chevelure rousse, la compagne de Bencivenni est abattue après une course échevelée >> p. 36 l'arc de triomphe de Pyongyang >> p. 42 Mattei, le grand génie qui enregistre tout mieux qu'un ordinateur, qui mentionne en passant le mystérieux visiteur de Montespan, soit le franc-maçonniste Hertz dont on se demande pourquoi il rend une visite aussi courte à Montespan (pour parler de Satan!) et qui n'a plus grand chose à faire dans cette dernière série, sauf de meubler curieusement le scénario ou le graphisme et la dernière phase de l'opération sera de détruire le laboratoire du guide suprême où se synthétise le lacrima christi >> toutefois, ce dernier album est un véritable flop, une conclusion des plus brèves sans aucun suspense, on détruit la souche du lacrima christi dans le laboratoire avec le rectificateur déguisé en un résistant nord-coréen, cousin d'un assistant du laboratoire qui fera entrer le rectificateur sans problème dans ce saint des saints et dans l'explosion du laboratoire, le guide suprême sera aussi supprimé, mais ce n'était que le sosie du véritable guide qui, lui, n'a pas fini de semer la pagaille dans le monde, même sans le lacrima christi, toutefois en page 55, ce tyran montre une certaine estime pour son sosie, qui s'est sacrifié pour lui, en voulant bien dédommager sa famille et il est fort probable que cette fois l'excellente série du triangle secret aura trouvé une fin définitive mentionnant une similitude étonnante avec l'épidémie du covid 19 en 2020 facit pour ce dernier album: beaucoup de bruit pour rien, much ado for nothing (Shakespeare)
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