série: | Alix |
dessinateur / scénariste: | Martin Jacques |
éditeur: | Casterman EO 2007 |
genre: | Antiquité |
classement: | biblio623 |
date: | 2007 |
format: | Cartonné |
état: | TBE |
valeur: | 6 € |
critère: | 0 |
remarques: | dessinateurs: Christophe Simon assisté par Patrick Weber, scénariste: François Maingoval 46 B.C. César est en Hispanie pour combattre les derniers chefs républicains: Labienus, Sextus et Caius Pompeius), un chef rebelle ibère, Tarago, s'allie avec les adversaires de César alors que sa soeur Celsona et son amant Mandonitos s'allient avec César (déjà une lutte fratricide) ce sera la bataille de Munda, défaite des adversaires de César qui dira de sa victoire que ce fut une lutte pour sa survie, mort de Celsona dans l'action, mort de Mandonitos en voulant protéger son ancien chef Tarago et mort de Tarago l'Ibère qui préfère se donner la mort plutôt que d'être captif, il sera honoré par Alix (la mémoire de Tarago ne doit pas s'éteindre Alix dixit) à voir: - p. 3 les protestations d'Alix contre les méthodes de guerre utilisées par César qui donne un cadeau empoisonné à Alix avec une villa ibérienne que Alix doit soi-disant faire prospérer mais qui en fait contient le trésor de guerre de César - p. 15 la lutte d'Alix homme à homme contre Tirago, Alix refuse le cadeau de César - p. 16 la colère de César contre Alix - p. 20-22 la tête bandée de Alix blessé dans un combat - p. 30 de l'or sonnant et trébuchant (voir info) - p. 34 l'homme qui est épié et qui est à son tour épié - p. 43 la bataille de Munda: les troupes de César portent un bouclier rouge et ceux des républicains un bouclier bleu - p. 48 le dieu taureau rendu aux Ibères n.b. dans ce récit, il semblerait y avoir quelques erreurs historiques: 1) Labienus n'est plus jamais revenu à César après la guerre des Gaules, même pas pour un court moment (page 17) 2) ce n'est pas Pompée le Jeune (Sextus Pompeius) qui est mort en Hispanie mais son frère aîné (Caius Pompeius), par contre la bataille de Munda est relatée assez fidèlement à l'histoire >> une histoire d'or et d'Ibère, peu convaincante, mais le graphisme est encore respectable (on regrette toutefois l'absence de décors historiques), le scénario n'est pas à la hauteur et très banal (histoire d'honneur, intrigues, drame amoureux) et surtout des onomatopées stupides et inutiles (cocorico, paf, han, aouch, aouw, ah, oh, bang, blong, plouf, bam, crac, bêêê, pchh, aaargh, tchac, etc) Information la monnaie était alors faite en métaux précieux, généralement en or ou en argent, les pièces tenaient leur valeur de la quantité de métal utilisé, pour en vérifier la valeur, on la laissait tomber sur une surface dure, pour l’entendre "sonner", aux oreilles averties d’un marchand ou d’un banquier, une pièce d’or ne sonnait pas comme une pièce de bronze pour être certain de la valeur d’une pièce, on la pesait ensuite dans une petite balance à deux plateaux: le trébuchet, ainsi, une espèce sonnante et trébuchante désigne une pièce qui a été pesée, et dont le poids correspond bien à la valeur |
couvertures: |