série: | Epervier (l') |
dessinateur / scénariste: | Pellerin Patrice |
éditeur: | Dupuis EO 2005 |
genre: | Renaissance |
classement: | biblio108 |
date: | 2005 |
format: | cartonné |
état: | TBE |
valeur: | 6 € |
critère: | ** |
remarques: | dernier album du premier cycle avec 54 pages pour ce dernier album historique du navire "l'Espoir" et du trésor que le marquis de Kermallec (arrière grand-père de la comtesse Agnes) et deux jésuites voulaient mettre à l'abri quant au quatuor (Yann, Agnès, La Motte et Villeneuve) traversant la jungle sur la route de Cayenne, Yann aidé de ses amis indiens a tôt fait de se débarrasser de ses ravisseurs et de s'enfuir avec la belle Agnes Yann retourne toutefois à un fromager géant dans les racines duquel il pense que le trésor de Tlaloc pourrait être enfoui, de trésor niente, mais il tombe sur Villeneuve qui a eu aussi vent de l'emplacement du trésor et qui veut maintenant éliminer définitivement l'Epervier qui, oh surprise, est sauvé par La Motte qui atteint de fièvre va mourir et veut se racheter mais Villeneuve réussira à prendre la poudre d'escampette >> p. 25/26 dans les fouillis des gigantesques arbres fromager retour à Cayenne, puis à Brest où Yann avoue son amour pour Agnès, mais celle-ci ne peut l'épouser car elle est promise au comte de Beaucourt (et surtout cela mettrait fin à la série) dépité l'Epervier reprend la mer mais auparavant il doit encore se débarrasser de Villeneuve revenu pour se venger >> p. 51 une mort trop douce pour ce misérable Yann et Agnès élucideront aussi le mystère des yeux de Tlaloc = 2 magnifiques émeraudes qu'on peut emboiter dans les yeux de la statuette, mais qui dégagent des ondes maléfiques (les larmes de Tlaloc) et sur la demande d'Agnès, l'Epervier se débarrassera de la statuette Tlaloc en la jetant dans la mer >> fin du Ier cycle en 6 volumes, le graphisme reste très bon, mais le scenario est à nouveau souvent relâché, pas toujours très réaliste et manquant un peu de saveur (du moins pour ce dernier album), une bonne série mais rien d'exceptionnel à part les dessins de voiliers, peu de batailles navales, l'Epervier n'est pas le démon des Caraïbes, c'est plutôt le corsaire justicier, toutefois il faut reconnaître que Pellerin connait bien la Guyane et ses forêts en s'y étant lui-même rendu pour étudier le paysage |
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