série: | Dumas Alexandre |
éditeur: | Nelson |
auteur: | Dumas Alexandre |
classement: | biblio2C |
année: | 1937 |
format: | cartonné |
état: | TBE/N |
valeur: | 15 € |
critère: | |
remarques: | les Blancs et les Bleus 1793-1799, la Révolution, les campagnes de Bonaparte, l'Egypte roman en trois volumes le tome 3 possède en page de garde la copie du 1er plat de la jaquette sans jaquette mais avec reproduction des couvertures Nelson Information commentaires sur Alexandre Dumas >> les trois mousquetaires (Poche) TOME I - le récit commence le 21 frimaire, an II = 11.12.1792 - Charles, le héros du roman, est un jeune citoyen aristocrate qui fait la connaissance de Eugène de Beauharnais, fils du général Beauharnais >> p. 87 l'enfant était encore de ceux qui croyaient en Dieu, il est vrai que c'était encore un enfant >> p. 87 on était au complet: l'accusateur, la guillotine et le bourreau - Charles est arrêté pour trahison, mais déféré à Saint-Just qui faisant preuve de justice, le fera remettre en liberté >> p. 98 description de Saint-Just, surnommé l'archange de la terreur, il sera emporté dans la chute de Robespierre en 1794 >> p. 119 en 1793, une diligence mettait 4 jours et 2 nuits de Strasbourg à Paris >> p. 136 description du citoyen général Pichegru, commandant de l'armée du Rhin, avec une tête de demi-dieu, accusé de trahison, pour avoir collaboré avec les monarchistes il se suicidera dans sa cellule >> p. 156 introduction de Moïnjski, l'espion polonais >> p. 181 la sanglante réalité après les combats sur les champs de bataille >> p. 245 le français est fait pour parler aux hommes, l'italien aux femmes et l'allemand aux chevaux - les combats au cri de vive la république continuent sur le Rhin entre français, prussiens et autrichiens tandis qu'à Toulon, la ville est reconquise grâce à la stratégie de Bonaparte nomenclature - une lieu = env. cinq kilomètres - cénobite = moione qui vivait en communauté - anacréontique = d'Anacréon = qui chante avec grâce et légèreté toutes sortes de voluptés TOME II - nous sommes maintenant en l'an 1794, le 9 thermidor (= onzième mois = juillet/août du calendrier républicain) Robespierre et Saint-Just ont eux aussi été victimes de la guillotine - Louis XVII meurt en prairial 1795 (mai/juin) - les alliés font la paix avec la France, le royalisme réapparait >> p. 15 la jeunesse dont l'habillement était en opposition avec les sans-culottes, les hommes s'appelaient les incroyables ou muscadins et les femmes les merveilleuses >> p. 18 le bal des victimes où pour y être admis, il fallait avoir un parent guillotiné >> p. 19 les acquis de la Révolution >> p. 35 confrontation entre Boissy d'Anglas, président de l'assemblée et la section Le Peletier n.b. Le Peletier était une section révolutionnaire parisienne - la contre-révolution continue à se manifester dirigée par la section Le Peletier, alliance entre chouans, compagnons de Jehu et royalistes à Paris >> p. 51 apparition du citoyen à l'habit vert >> p. 60 description du général Barras >> p. 73 les rixes entre conventionnels et sectionnaires à Paris et en province >> p. 87 description de Madame de Staël, exilée en Suisse, elle revient à Paris à la chute de Robespierre et ouvre son fameux salon - Barras est nommé par la Convention commandant de la force armée, il confie à Bonaparte la mission de pacifier la ville de Paris et grâce à sa maîtrise de l'artillerie, Bonaparte bouscule les sectionnaires lors du combat de l'église Saint-Roch - la victoire du 14 vendémiaire an IV (5.10.1795) avait sauvé la Convention et la Révolution >> p. 150 rencontre sentimentale entre Bonaparte et Marie-Rose-Joséphine Tascher de la Pagerie, veuve du général Beauharnais >> p. 166 l'entrevue entre la sybille (devineresse), Mlle Lenormand, qui prédit à Joséphine qu'elle sera impératrice, mais qui ne lui dit rien sur sa déchéance après s'être élevée au sommet >> p. 181-189 idem pour la prédiction sur l'avenir de Bonaparte qui visite la sybille sous un déguisement n.b. un passage un peu farfelu par Dumas - le 26.10.1795, la Convention avait rempli sa mission, le Directoire lui succédait composé de cinq menbres: Barras, Rewbell, Larevellière-Lépeaux, Letourneur et Carnot - le 9.3.1796, après un mariage expéditif avec Joséphine, Bonaparte prenait le commandement de l'armée d'Italie >> p. 195 le message de Bonaparte à ses soldats - premières victoires à Montenotte et Dego qui allaient être le prélude à la campagne glorieuse d'Italie le 18 fructidor (septembre 1797), des bandes de royalistes qui se nomment les compagnons de Jehu (selon la bible, Jehu réaliste sa vengeance sur Jezabel) ravagent le sud-est de la France en dévalisant les courriers et les convois du Directoire >> p. 223 le supplice du manque de sommeil >> p. 256 le massacre d'Avignon - quant à Bonaparte, il commence à avoir des difficultés avec le Directoire dont de nombreux membres sont jaloux des succès de Bonaparte >> ce tome II parle surtout de la contre-révolution et de la montée au pouvoir de Bonaparte nomenclature - convolvulus = plante aussi appelée liseron - dégénération = état de ce qui est détérioré - dégénérescence = perdre les qualités de sa race - garance = teinture rouge - chiromancie = interprétation des signes de la main - catoptromancie = lire son avenir dans les miroirs - alectromancie = prédiction par l'observation du picorage d'un oiseau TOME III a) suite de 18 fructidor (septembre 1797) - >> p. 16 description de Talleyrand et lors de son entrée en politique, introduit par Madame de Staël, il est nommé ministre aux affaires étrangères - conspiration des clichiens (contre-révolutionnaires) dirigés par Pichegru contre ses principaux rivaux militaires: Bonaparte, Hoche et Moreau >> p. 19 Hoche voulait effectuer une expédition en Irlande (alliance entre Hoche et Barras) >> p. 24 la comédie de la migraine chez la femme >> p. 42 louer la fonction de maître des postes pour ne pas être obligé de l'exercer soi-même >> p. 55 la colonne du colonel Houlot >> p. 63 le combat entre bleus et blancs: Houlot contre Cadoudal n.b. pour Dumas, Cadoudal était un personnage de bon allure et relativement respectable >> p. 86 le Finistère = finis terra >> p. 89 l'exécution de l'exécuteur de la guillotine >> p. 97 26 messidor = 14 juillet 1797 à Milan, discours adressé par Bonaparte à ses soldats devant la pyramide des trophées avec le souvenir des morts durant la campagne d'Italie >> p. 98 Masséna porta un toast à la réémigration des émigrés >> p. 99 éloge de Pichegru, trop calomnié selon Dumas malgré que Pichegru eut tenté un coup d'état pour rétablir la monarchie avec Louis XVIII >> p. 103 description du général Moreau >> p. 107 la conquête de la Hollande dont l'assaut sur la flotte hollandaise prise dans la glaçe par la cavalerie de Moreau - au rappel de Pichegru, Moreau fut nommé commandant de l'armée du Nord et du Rhin, par la suite il fut l'homme qui livra Pichegru à Barras en remettant à celui-ci la correspondance entre Pichegru et le prince de Condé >>p. 117 18 fructidor = coup d'état arrangé par Barras et deux membres du Directoire contre les deux autres entraînés par Pichegru >> p. 118 le fil des évènements >>p. 131 l'exil des condamnés politiques vers la Guyane (y compris Pichegru) après une terrible marche depuis Paris à Rochefort, port d'embarquement b) la huitième croisade - en 1798 Bonaparte pense à l'Orient et à l'Egypte, n'ayant pas reçu l'accord du Directoire pour y devenir l'un des leurs, il fallait encore à Bonaparte éblouir ces gens-là - et après l'Egypte, Bonaparte projeta le 1.1.1799 la campagne de Syrie, le 7.3. prise de Jaffa où 40'000 prisonniers seront passés au fil de l'épée (une ombre qui tâchait la gloire de Bonaparte) - St-Jean d'Acre fut toutefois le point d'arrêt de l'offensive de Bonaparte, ceci dû à la résistance de deux hommes: Sidney Smith et Phélippeaux qui valaient plus que l'armée complète du pacha >> p. 175 l'histoire de Jaffa alias Joppé >> p. 190 l'histoire de Ptolémaïs = St-Jean d'Acre) >> p. 199 la mort du général Caffarelli qui portait une jambe de bois >> p. 216 bataille de Nazareth et du mont Thabor - après 60 jours de siège, d'Acre résistait toujours >> p. 238 le dernier assaut sur Acre - c'était depuis trois ans, le premier échec de Bonaparte >> p. 243 la magnanimité de Sidney Smith pour la brigade de Roland enfermée dans la forteresse d'Acre >> une retraite terrible depuis St-Jean-d'Acre >> p. 261 l'hôpital des pestiférés de Jaffa et le rapport de Bourrienne sur l'évènement - le 14.6.1799, Bonaparte était de retour au Caire pour affronter la bataille terrestre d'Aboukir, victoire de Bonaparte qui faisait prisonnier Mustapha pacha et au vue de la situation en Europe, Bonaparte réembarquait le 23.8.1799 sur la Muiron et arrivait à Fréjus en octobre 1799 après avoir évité la flotte anglaise nomenclature - sigisbée = chevalier servant ou amant de coeur - gravelle = maladie qui provoque des calculs dans le rein - marcher l'amble = allure de marche rapide - la Sainte-Wehme (Fehmgerichte) = société secrète allemande d'inspiration chrétienne - Ptolémaïs = St-Jean-d'Acre, mais aussi colonie grecque en Egypte fondée par Ptolémée >> un troisième tome tout à fait intéressant, surtout la campagne de Syrie devant St-Jean-d'Acre n.b. Alexandre Dumas ne mentionne pratiquement pas la présence de son père le général Thomas Dumas (1762-1806) durant la campagne d'Egypte, celui-ci né à Saint-Domingue avait des origines afro-caribéennes - il ne s'entendra pas avec Bonaparte et quitte l'Egypte le 7.3.1799, il meurt de maladie en 1806 à 44 ans alors que son fils Alexandre n'est âgé que de trois ans et sept mois annexes - couvertures des 3 tomes Nelson - portrait de Bonaparte - portrait de Saint-Just - portrait de Robespierre - portrait de Pichegru - portrait d'Alexandre Dumas Information A/ Moyse Bayle (né à Genève 1755-1812) est un révolutionnaire et un homme politique français, en 1792, il est élu à la Convention nationale, puis à Paris il rejoint le groupe des montagnards, il vote pour la mort du roi dans les 24 heures déclarant: je ne veux ni rois, ni protecteurs ni dictateurs ni triumvirs ni aucun genre de despotisme, je veux la république indivisible - après l'exécution de l'Incorruptible et de ses amis, son anti-robespierrisme lui permet de ne pas être trop inquiété, même s'il est exclu du comité de sûreté générale en 1794, cependant, comme beaucoup d'anciens terroristes, il se retrouve bientôt mis à l'index par la réaction thermidorienne, hostile à Barras et à Fréron pour leur rôle dans la répression marseillaise, il devient une des cibles des collets noirs (antijacobins), il sera accusé d'actions contre-révolutionnaires, emprisonné, puis libéré en 1795, mais déclaré inéligible B/ Jean-François Reubell ou Rewbell (1747-1807) était un homme politique et diplomate français, une figure républicaine modérée mais intransigeante de la Révolution et un de ses principaux acteurs, membre du premier directoire C/ Louis-Marie de La Révellière-Lépeaux (1753-1824), député à la Convention nationale et au Conseil des Anciens, il fut membre du premier Directoire D/ Étienne-François Le Tourneur (1751-1817) était un général et homme politique français, membre du premier Directoire E/ Lazare Nicolas Carnot (1753-1823) était un mathématicien, physicien, officier et politicien français, député à l'Assemblée législative, puis à la Convention nationale, il est membre du Comité de salut public, son rôle dans les succès des armées françaises de la Révolution lui vaut les surnoms de Grand Carnot d'organisateur de la victoire, membre du premier Directoire F/ Paul de Barras (1755-1829) était un noble français, homme politique révolutionnaire et général, député à la Convention nationale, il vote la mort de Louis XVI, il apparaît comme l’un des hommes-clés de la transition vers le Directoire dont il devient l'un des principaux directeurs à partir du 31 10.1795 et jusqu'au coup d'état du 18 brumaire (novembre 1799), lors duquel il démissionne pour faciliter l'accession de Bonaparte comme premier consul - Barras était connu dans les salons parisiens pour aimer s’entourer de femmes belles et spirituelles, c'est lui qui facilite le mariage, dont il sera le témoin, entre Joséphine de Beauharnais, qui avait été sa maîtresse, et Napoleon Bonaparte G/ Marie-Anne Adélaïde Le Normand mena une vie digne des plus grandes héroïnes de roman, orpheline très jeune, elle découvre à Paris l'étude des nombres de Pythagore, la kabbale et les tarots, mais surtout la nécromancie qui, toute sa vie, restera sa mancie préférée, devenue cartomancienne, elle invente un nouvel outil de divination, installée à Londres, elle devient la coqueluche des émigrés français et des grands aristocrates anglais, de retour en France malgré le climat houleux de l'après 1789, elle poursuit ses voyances auprès des puissants du moment tels que Camille Desmoulins, Robespierre, Barras et même un certain Buonaparte à qui elle prédit les plus grands honneurs... et qui ne la croit pas, arrêtée, incarcérée et libérée à plusieurs reprises, elle continue de rencontrer des personnages illustres comme le tsar Alexandre et surtout Joséphine de Beauharnais dont elle deviendra la confidente attitrée puis l'amie précieuse H/ général Pichegru (1761-1804), il conspire avec Cadoudal contre le Consulat et Bonaparte, est arrêté puis retrouvé mort dans sa cellule, il fait partie des très rares généraux de la révolution française (avec Dumouriez et Moreau) à avoir changé de camp IJ/ général Moreau (1763-1813) en avril 1797, il découvre la correspondance secrète et codée établissant la trahison entre son ancien camarade et chef Pichegru et l'émigré prince de Condé (affaire du fourgon de Klinglin saisi lors de la prise d’Offenbourg 21 avril 1797), il a été le témoin de Pichegru contre des premières dénonciations de déloyauté, mais il s’aperçoit alors que son attitude le rend lui-même suspect de complicité, il tarde à transmettre ces éléments de preuve au Directoire, tandis que le coup d’Etat du 18 fructidor entraîne la chute de Pichegru et son emprisonnement à Cayenne, Moreau, convoqué à Paris et soupçonné de déloyauté, est mis en réforme le 23 septembre perdant son commandement K/ général Hoche (1768-1797) après la trahison du général Dumouriez, avril-mai 1793, il est rappelé à Paris pour expliquer la situation, Hoche prend la défense de son général devant le premier comité de salut public et expose un plan de campagne si bien conçu que Lazare Carnot se serait écrié: voilà un officier subalterne d'un bien grand mérite, le comité tout entier se joint à Carnot pour admirer tant de savoir dans un jeune homme et cela va donner à Hoche la possibilité d'une ascension rapide, le 15 mai 1793, grâce à l'appui de Lazare Carnot qui fait de lui le plus grand cas, il est nommé adjudant-général chef de bataillon employé à l'armée du Nord - nommé général à l'Ouest, Hoche achève alors le désarmement de la Vendée militaire, et la pacification est officiellement proclamée le 15 juillet 1796 - il prévoit envahir l'Irlande contre les anglais, mais sa flotte ayant été dispersée par un ouragan terrible, il est obligé de revenir en France, heureux d'échapper, grâce aux habiles manœuvres de son pilote, à la vigilance des patrouilles britanniques - il meurt de la tuberculose en septembre 1797 L/ Sidney Smith (1764-1840) promu rear admiral, Sidney Smith commande une escadre qui bombarde Alexandrie, Bonaparte s'engage alors en direction de la Syrie, Smith conduit sa flotte en direction d'Acre et aide le commandant turc Djezzar Pacha à renforcer les défenses de la ville, notamment le vieux mur d'enceinte et lui fournit des canons manœuvrés par des marines issus de ses bâtiments, il capture dans le même temps l'artillerie de siège française convoyé d’Égypte par les navires de l'amiral Perrée, qui lui permettent d'armer la cité de Saint-Jean-d'Acre, qui est assiégée par Bonaparte à partir de mars 1799, enfin, il interdit l'accès à l'armée française de la route partant de Jaffa en bombardant cette dernière depuis la mer M/ Louis-Edmond Antoine de Phélippeaux (1767-1799) était un officier d'artillerie royaliste français, émigré et passé au service de la Grande-Bretagne, il suivit la même école que Bonaparte, à Paris en 1798, il organise la spectaculaire évasion de Sidney Smith de la prison du Temple - il contribue puissamment à la défense victorieuse de Saint-Jean-d'Acre contre le général Bonaparte, en aménageant une deuxième ligne de fortifications à l’intérieur de l’enceinte et en augmentant l'artillerie de la forteresse par des pièces d'artillerie de marine, il meurt de la peste ou d'épuisement en 1799 à Acre N/ Louis V Joseph de Bourbon-Condé (1736-1818), prince de Condé, il est l'un des premiers à quitter la France, le 17 juillet 1789, et émigre à Bruxelles, puis en Suisse et se trouve en septembre 1789 avec le comte d'Artois (futur Charles X) - au printemps 1791, il organise une armée à Worms, sur les bords du Rhin tandis que les frères du roi établissent leur quartier général à Coblence O/ Georges Cadoudal (1771-1804 guillotiné) était un général chouan, commandant de l'armée catholique et royale de Bretagne - après avoir signé le traité de Beauregard, il refuse le grade de général dans l'armée républicaine et s'oppose au premier consul Bonaparte - il est l'auteur de l'attentat de la rue St-Nicaise en 1800 - jugé avec le général Moreau, Cadoudal est guillotiné avec onze autres royalistes, sa famille est anoblie par Louis XVIII et il est fait maréchal de France à titre posthume PQ/ René-Nicolas Dufriche, baron Desgenettes (1762-1837) était un médecin militaire dans l'armée républicaine, à peine arrivé en Égypte, Desgenettes eut à lutter avec les maladies nombreuses que faisaient naître dans l’armée un climat brûlant, des bivouacs continuels et le manque d’eau potable, il y instaura des mesures d’hygiène et de prophylaxie rigoureuses: toilette, nettoyage des vêtements, désinfection des locaux, surveillance de l’alimentation, des cas de variole, de scorbut, de conjonctivite aiguë contagieuse et de dysenterie sont observés qui lui donnent une bonne expérience de la médecine militaire R/ Louis Antoine Fauvelet de Bourrienne (1769-1834) fut le secrétaire de Bonaparte durant la campagne d'Egypte |
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