série: | 2nd WW espionnage |
éditeur: | J'Ai Lu |
auteur: | Ponchardier Dominique |
classement: | biblio2C |
année: | 1950 |
format: | broché, collection bleue |
état: | TBE |
valeur: | 6 € |
critère: | * |
remarques: | les pavés de l'enfer la lutte clandestine des gens de l'ombre, journal de bord d'un résistant durant la France occupée >> p. 207 les cons de différentes natures >> p. 296 l'opération Jericho (l'évasion de la prison d'Amiens) rendue possible par un bombardement allié (dont on en tira un film, d'ailleurs pas terrible!) >> p. 332 commentaires sur Rommel, l'homme du désert que la résistance aurait pu facilement supprimer mais dont elle n'avait jamais reçu l'autorisation pour cette action >> p. 355 le côté bibifricotinesque du renseignement britannique >> p. 443 Genève en Suisse, c'était "Alice au pays des merveilles" en comparaison de la France sale, obscure, pauvre et démantelée, la vie était chère à Genève mais on y trouvait de tout >> p. 447 à 451 commentaires sur les suisses et sur la Suisse, un pays de cocagne, le retour en France était toujours pénible >> p. 466 les résistants et les faux-résistants >> p. 480 dissertation sur l'héroïsme >> journal de bord d'un résistant raconté à la mode San Antonio, quelques bons passages mais un texte généralement lassant Information 4ème de couverture jai eu pendant quelques années le pistolet facile, je ne m'y suis jamais laissé aller avec allégresse, sauf dans latmosphère du débarquement, pourtant jusquà la fin de 1942, à part l'enfantillage des tracts et dépisodiques sabotages, le plus gros de mon travail le plus important, une fois les évasions à grande échelle terminées, ce fut le pistolaccio Dominique Ponchardier, considéré par la Gestapo comme un très dangereux terroriste, toujours armé et qu'il fallait abattre à tout prix, raconte dans ce récit ce que fut la véritable clandestinité, celle des gens de l'ombre, des bonshommes de la première heure des scènes parfois étonnantes, dramatiques, telle que: l'exécution au couteau du traître Durand, le meurtre de la prostituée qui vendait les agents alliés, le suicide imposé au Saint-Cyrien lâche, mais rien vraiment de très étonnant |
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