série: | Histoire (Rome) |
éditeur: | Plon |
auteur: | Manfredi Valerio |
classement: | carton 93A |
année: | 2002 |
format: | broché |
état: | TBE |
valeur: | 6 € |
critère: | * |
remarques: | ermpire romain 476 A.C. rivalité entre Odoacre le barbare et Oreste, le dernier romain dont le fils Romulus Augustus âgé de 12 ans devrait être sacré empereur; près de Pavie, la légion Nova Invicta, commandée par le général Claudianus subit les assauts des barbares d'Odoacre et une offensive surprise sur la villa d'Oreste, près de Ravenne, organisée par Wulfila, lieutenant d'Odoacre, cause la mort d'Oreste et la captivité de Romulus le légionnaire Aurelius tente de libérer Romulus mais il n'y réussit pas et Romulus avec son précepteur Ambrosinus sont exilés sur l'île de Capri, Aurelius, blessé, est sauvé par Lucia, un archer hors-pair dont le père Anthemius veut aussi libérer Romulus avec l'aide de Lucia, de Stephanio son garde-du-corps et si possible avec Aurelius quand celui-ci sera rétabli Aurelius accepte la mission si on l'aide à délivrer aussi les survivants de la légion Nova Invicta dont le géant noir Batiatus, qui ont été fait prisonniers par Wulfila, quant à Romulus et son précepteur, ils arrivent tous deux à Capri sous la surveillance de Wulfila Aurelius explique que Oreste voulait constituer une dernière légion, forte et impressionnante >> p. 116 création de Venetia sur un groupe d'îlots dans la lagune d'Aquilée et à Misène, le trio rachètent les survivants de la Nova Invicta et par la même occasion, ils libèrent deux grecs combatifs, en tout ils formeront un commando de 5 légionnaires + 2 grecs = le début d'une nouvelle légion de 7 combattants! >> p. 152 l'histoire d'Ambrosinus qui, originaire de Bretagne, assiste à l'invasion des barbares du nord au-delà du Grand Mur (le mur Hadrien) et qui était parti pour demander de l'aide à Rome, il rencontrera Oreste, sauvera son fils Romulus et deviendra son précepteur >> p. 168 la prophétie qui encourage le druide Ambrosinus: - une jeune homme viendra de la mer du sud - armé d'une épée redoutable apportant paix et prospérité - l'aigle et le dragon voleront à nouveau sur la grande terre de Bretagne dans sa prison à Capri, Romulus découvre une salle souterraine où se trouvent les statues des empereurs romains et dont celle de César avec son épée magique Aurelius et ses amis réussissent à s'introduire dans la forteresse de Capri mais l'alarme est donnée, toutefois grâce à l'épée de César, la tentative réussit et le groupe quitte l'île en profitant de l'éruption d'un volcan >> p. 199 le feu grec, une recette d'Hermogène de Lampsaque (?) puis on se dirige vers le lieu de rendez-vous où un navire venant de Constantinople, la capitale corrompue, doit les attendre >> p. 212 la différence entre la civilisation et la barbarie >> p. 228 le cursus publicus (service de poste impérial) arrivée sur l'Adriatique, le bateau attendu ne viendra pas et les sbires de Wulfila sont maintenant sur leurs traces, Aurelius et ses amis réussiront de nouveau à échapper à Wulfila et Ambrosinus propose de se rendre en Bretagne Wulfila doit affronter la colère d'Odoacre qui lui donne toutefois plein pouvoir pour poursuivre les fugitifs et la poursuite continue vers le nord prochaine destination pour Aurelius et ses amis: la Rhétie des Burgondes >> p. 319 l'histoire des Helvètes le groupe arrive sur les bords du Rhin à un lieu appelé Magia mais toujours poursuivis par Wulfila à qui ils échapperont de nouveau en naviguant sur le Rhin mais Wulfila possède maintenant l'épée de César qu'il a ravi à Aurelius lors d'un combat dans les Alpes on arrive au lac de Brigantium (Bodensee) et à Tasgactium = une forteresse à Stein-am-Rhein près des chutes du Rhin >> p. 339 le diolkos = passage terrestre pour bateaux afin d'éviter les chutes ou rapides des fleuves (la plus célèbre: celle de Corinthe) >> p. 341 description des barbares et des invasions barbares le trajet continue vers Argentoratum (Strasbourg) mais comme le fleuve commence à être gelé, Aurelius et ses amis doivent débarquer sur la rive orientale et se préparer à traverser avec un chariot en amont fu fleuve gelé vers Argentoratum mais en traversant le fleuve, ils allaient être rattrapés par Wulfila et ses hommes quand un groupe armé des romains de Syagrius, Rex Romanorum, surgit et arrête l'assaut des barbares, toutefois ils sont faits prisonniers par Syagrius qui veut les garder comme otages, Aurelius et ses amis réussiront à nouveau à s'échapper et à s'embarquer à Brixate pour la Bretagne >> p. 379 les explications sur l'île d'Avalon = l'île des morts >> p. 383 les origines du mot chêne = drys en grec qui donne le gui sacré en route pour Carvetia, trajet durant lequel on apprend la situation qui règne en Bretagne sous la domination du tyran Vortigern enfin on arrive au Grand Mur qui traverse tout le pays, au Mons Badonicus, au lacus Virginus = le lac de la vierge et un peu plus loin au camp de la dernière légion de Bretagne, la forteresse du dragon, mais entretemps Wulfila arrive aussi en Bretagne et veut rencontrer Vortigern >> p. 395 Galgacus = le dernier héros de la résistance bretonne contre Rome et comme la légion "Legio XII Drago" fut trahie par Vortigern après son entrevue avec Vortigern, Wulfila réussit à éliminer le tyran et à prendre le commandement de toutes ses troupes c'est ainsi qu'il peut assiéger la forteresse où s'était réfugié le petit groupe d'Ambrosinus, les assiégés allaient succomber, c'est alors que sous le commandement de Kustennin, la dernière légion reconstituée surgit du néant et anéantit les troupes de Wulfila qui lui-même connut son châtiment de par Romulus qui avait récupéré l'épée de César après la bataille, Romulus éclata en sanglot et ne voulut plus de guerre ni de sang, il projeta dl'épée dans le lac, la lame fendit l'air dégageant une lumière aveuglante et se ficha fermement dans un rocher moussu qui émergeait du milieu du lac Romulus devint chef des Bretons sous le nom de Pendragon = fils du dragon, il s'accoupla avec Ygraine, la bretonne qui lui donna un fils appelé Arthur, d'Arcturius qui signifie "celui qui est né sous les étoiles de l'Ourse" et de l'inscription que portait l'épée de César soit "Cai.Inl.Caes.Ensis.Caliburnus" il ne resta plus que quelques lettres encore lisibles: ESCALIBUR et seule la main d'Arthur pourra l'extraire de la roche, le jour qu'il lui faudra combattre le mal mais ceci est une autre histoire >> un roman sans grand envergure, prélude au roman médiéval du roi Arthur un roman pure fiction, sans aucune base historique, mais le récit se laisse lire facilement, pour ainsi dire sans temps mort avec une bonne action et le roman donnera bien sûr lieu à un film du même titre (assez intéressant mais qui ne vaut pas le livre) information la légende d'Escalibur ou Excalibur, l'épée magique légendaire du roi Arthur Excalibur est l'épée magique légendaire du roi Arthur, le roi des Bretons, dans les textes de la légende arthurienne de la matière de Bretagne rédigés à l'époque du Moyen Âge. certains considèrent qu'Excalibur et l'Épée du Rocher (preuve du lignage d'Arthur) ne sont qu'une seule et même arme, mais dans la plupart des versions de la légende, ce sont bien deux épées distinctes, Excalibur a la réputation d'être incassable et de trancher toute matière, son fourreau protège son porteur de toute blessure le roi Arthur, détenant les deux artéfacts, était donc invincible sur les champs de bataille digne fils d'Uther Pendragon, avec Excalibur au côté, le roi Arthur a réuni et pacifié les deux Bretagnes à sa mort, l'épée est jetée dans un lac magique par Bedivere dans la mort du roi Arthur, une main (de la Dame du Lac?) sort alors du lac et s'empare de l'épée le roi Arthur ou Arthur Pendragon est, d'après les romances médiévales, un seigneur breton qui aurait organisé la défense des peuples Celtes des îles britanniques et de la Bretagne armoricaine face aux envahisseurs germaniques à la fin du Ve siècle ou au début du VIe siècle, la légende d'Arthur est principalement inspirée par le folklore et l'invention littéraire, et son existence historique n'est pas attestée, les sources historiques d'Arthur sont recueillies sur de rares textes contradictoires, essentiellement des poèmes et contes en langue galloise, des annales et chroniques décrivant la romanisation et la christianisation de la Grande-Bretagne comme les Annales Cambriae et l’Historia Brittonum et la vie des premiers saints de l'île bretonne, comme Gildas le Sage le nom d'Arthur apparaît également dans d'anciens poèmes tel que le Y Gododdin son histoire se situe à une époque où le terme "Bretagne" désignait la grande moitié sud de l'actuelle Grande-Bretagne. la figure légendaire d'Arthur s'est développée essentiellement grâce à l'Historia regum Britanniae (Histoire des rois de Bretagne) écrite par Geoffrey de Monmouth au XIIe siècle, toutefois, antérieurement à cette œuvre, certains contes et poèmes gallois ou bretons, ainsi que des chroniques ou annales reprenant des traditions orales, font déjà apparaître Arthur comme un grand guerrier défendant la Bretagne des hommes et d'ennemis surnaturels ou comme une figure magique du folklore, parfois associée à Annwvyn, l'autre-Monde celtique la part du récit de Geoffrey de Monmouth, écrit encore en latin, adaptée des sources antérieures et celle issue de sa propre imagination sont inconnues bien que les thèmes, les événements et les personnages de la légende du roi Arthur varient considérablement de texte en texte, et qu'il n'existe pas de version unique, les événements contés dans l'Historia regum Britanniae servirent de base pour la plupart des histoires postérieures |
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