série: | Cosmos |
dessinateur / scénariste: | Fernandez F. |
éditeur: | Artima |
genre: | ScienceFiction |
classement: | carton21 |
date: | 1956 |
format: | broché |
état: | TBE |
valeur: | 8 € |
critère: | * |
remarques: | Cosmos (1ère série) est une revue science fiction de l'éditeur Artima, elle est dessinée par l'espagnol Fernando Fernandez, le scénariste est inconnu, la série est composée de 62 numéros de novembre 1956 à décembre 1961, format 17,5 x 23 cm, 36 pages, douze recueils, le numéro 18 est un Spécial 68 pages, absorbe Atome Kid (1ère série) à partir du numéro 36, puis Monde Futur (1ère série) au numéro 48, n.b. suite à une erreur de numérotation, le cosmos N°32 (5-1959) est paru avant le cosmos N°31 (6-1959); on peut y lire des bandes françaises ainsi que quelques comics issus de "journey into mystery", "tales of suspense" ou "tales to astonish", >>> seuls les 46 premiers numéros sont collectionnés ici fascicule no 1, novembre 1956, le monde ignoré épisode complet, début des aventures de Ray Comet, capitaine de l'escadrille "espace policemen" qui dans ce numéro escorte un navire marchand terrestre qui est attaqué par des soucoupes volantes provenant de la terre, Ray Comet signale cette agression à son chef, le général Hillman, qui charge Ray Comet de tout mettre en oeuvre pour arrêter ces pirates de l'espace, à New York, Ray Comet rencontre sa fiancé, Diana, une journaliste >> p. 13 combat en corps à corps au couteau dans le cosmos à la mode peau-rouge Ray Comet réussira à demanteler le gang des pirates de l'espace >> des récits pas trop recherché dans la série Cosmos, idem pour le graphisme, en tout cas aucune comparaison avec la série Meteor qui était quand même à un niveau supérieur, c'est un peu du western de science fiction Information Cosmos est un magazine mensuel français de science-fiction en bande dessinée, paru aux éditions Artima de novembre 1956 à décembre 1961, en 62 numéros de 32 pages, comme souvent chez Artima, aucun nom d'auteur n'est indiqué dans les récits les premiers épisodes mettaient en scène Ray Comet, d'un physique assez proche de Flash Gordon: blond athlétique, en pantalon moulant rentré dans les bottes, la chemise ample, la casquette militaire, équipé d'un gros étui de pistolet au côté, il était évidemment accompagné d'une éternelle fiancée: la journaliste Diane Trenton, c'est l'Espagnol Fernando Fernández qui dessinait ces aventures; il n'avait que 16 ans en 1956, il est relativement peu connu, né en 1940, après la série Cosmos, il dessinera encore les récits de: Scotland Yard (1968 Impéria), opération secourisme (1977), l'art de la bd (1982), thriller (1983), Dracula (1985), l'homme de Cuba (1986), Lucky Starr (1991), Rufus (1975), Vampus (1977) dans la série Cosmos, l'astronef des deux héros, protégé optionnellement par un champ de force, se nomme l'Arkenos, les histoires ont un côté didactique: lorsque l'Arkenos traverse une étoile, Ray Comet explique à Diana qu'une étoile dégage son énergie en transformant l'hydrogène en hélium et que le fer passe à l'état gazeux à 3 000 degrés, tandis que l'Arkenos est, au cœur de l'étoile, dans un environnement de plusieurs millions de degrés. ces informations ne se limitent pas aux matières scientifiques: l'épisode "les Hordes du passé" présente les points de vue de soldats qu'un certain capitaine Rander est allé recruter dans les grandes batailles d'autrefois (j'ai sauvé leurs vies parce qu'ils n'avaient pas craint de la perdre), un ancien soldat sudiste de la Guerre de Sécession demande à Ray comment s'est terminée la guerre et accueille la nouvelle avec une remarque résignée et ambiguë: "les loups disparaissent, les moutons restent" que ce côté instructif en soit la raison ou non, les recommandations de vigilance de l'église catholique aux parents concernant Atome Kid et Monde futur ne touchent pas Cosmos, qui est explicitement autorisé à paraître sans changement, à partir du numéro 36 (septembre 1959), les fascicules Cosmos hébergèrent dans leurs pages les aventures d'Atome Kid, puis des épisodes de Monde Futur dessinés par Boixcar à mesure que les éditions Artima réduisaient le nombre de leurs titres |
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