série: | Phoebe Zeit-Geist |
dessinateur / scénariste: | Springer+O'Donoghue |
éditeur: | Losfeld EO 1968 |
genre: | Erotisme |
classement: | biblio619 |
date: | 1968 |
format: | cartonné, noir&blanc |
état: | TBE |
valeur: | 20 € |
critère: | ** |
remarques: | les aventures de Phoebe Zeit-Geist, récit divisé en plusieurs petit chapitres 1) un destin menaçant - l'enfance de Phoebe Zeit-Geist, jeune fille aristocrate, mais on ne peut pas échapper à son destin 2) terreur dans la bitume - suppliciée par un officier nazi = épisode très érotique 3) panneaux de torture - enlevée dans les airs, Phoebe Zeit-Geist subit la torture des panneaux publicitaires 4) le plongeon périlleux - la première mort de Phoebe par l'archer Zen à voir: deux vignettes bien connues 5) solde de tout compte - dans l'antre de Necrophilia, Phoebe est embaumée et mariée à Thénatos, dieu de la mort 6) les mâchoires de la mort - dans les mains du féroce mycologue Fuzziflesh 7) horreur boréale (Arctic ruin) - Phoebe est enlevée par un esquimau qui réussit à la ranimer pour pour en faire une princesse des glaces 8) un cadavre à la mer (marine corpse) - dans le sous-marin "narcisse noir" des homosexuels "P'tit Loup" et "Tata blanchette", Phoebe devient une torpille humaine 9) à coups de pompes (rough shod) - échouée à Rio de Janeiro, à noter: l'atelier orthopédique "orthopedic shoes and artificial limbs" 10/ petite malveillance (tiny malice) - réflexion sur le communisme >> p. 5/6 deux fameuses vignettes érotiques 11) peine et peinture (pain and ink) - dans les mains du tatoueur et délivré par un agent secret 12) un air détaché (one track bind) - parodie sur James Bond et sa voiture 2 CV 13) les furies (lethal women) - aux prises avec une panoplie de lesbienes dont une d'elles très imposante 14) abjection repoussée - revue des personnages, retour à la source où le destin sera puni et anéanti >>> le parfait exemple de la bande dessinée surréaliste (genre Alice au pays des merveilles), le graphisme est respectable, mais le scénario plutôt abracadabrant, ce qui est d'ailleurs le but de ce récit avec malgré tout un satire sur la société, notamment américaine, des années soixante |
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